Sur le thème des « Trésors du monde » les animateurs du service jeunesse se sont parés des plus beaux habits de la planète afin d’immerger les enfants dans un tour du monde en musique, danses et jeux.
L’esprit du carnaval était encore bien présent sur la place Jules Musso à la veille du printemps. Dès 14h, parents et enfants étaient tous réunis afin de découvrir les jeux concoctés par les animateurs et l’action culturelle municipale. Barbes à papa, popcorn et bonbons étaient aussi de la partie, distribués par la fidèle équipe du comité des fêtes.
Entre deux batailles de confettis, sculpture de ballons et maquillage, les joyeux lurons de l’association Lou Cairèu niçart faisaient valdinguer dans les airs un Paillassou ou un enfant qui le souhaitait.
Les enfants, réunis au centre de la place, ont fait le spectacle en réalisant une chorégraphie répétée avec soin durant le temps périscolaire.
Pas de le temps de reposer les yeux…! Le spectacle de French Cancan, proposé par l’association Classi-Jazz a émerveillé petits et grands. Paris et son Moulin Rouge ont été dignement représentés par ces passionnées de danse venues de La Trinité. Isabelle danseuse et réalisatrice des costumes précise : « Classi-jazz privilégie le vivre ensemble et le partage dans le respect des valeurs véhiculées par la danse : travail, rigueur, passion… dans la joie et les paillettes ! »
Le show a continué avec les combats de L’association Capoeira da sorte qui a fait sensation en présentant les plus belles figures ce sport issu du Brésil, berceau du Carnaval de Rio.
La fête battait son plein quand les animateurs ont invité toute la foule à les suivre sur l’Allée des commerçants. Depuis leur char, ils ont fait fuser les confettis et ambiancé tout le village.
Et pour se remettre de toutes ces émotions, l’association des parents d’élèves, Lou Pitchoun Babi, proposait des boissons et de savoureux gâteaux.
🤔 Le saviez-vous ❓
Le jet de paillassou (homme de paille, ou en niçois, l’idiot) est une tradition vieille d’au moins 160 ans et existait bien avant la création du char de Sa Majesté. Le mannequin porte toutes les mauvaises vibrations de l’année écoulée, et on l’envoie valdinguer aux quatre vents afin de les chasser.
